Protocole Sanitaire Coronavirus

Protocole Sanitaire Coronavirus

La situation sanitaire actuelle demande d’être vigilant pour la santé de tous.

Le cabinet Kaluxia a mis en place un certain nombre de mesures, conformément aux recommandations du Ministère du Travail et de la Chambre Syndicale de la Sophrologie.

L’accueil :
  • L’accès au cabinet est autorisé uniquement sur RDV.
  • Les surfaces de contact sont désinfectées entre chaque RDV.
  • Le cabinet est aéré pendant 15 minutes entre chaque RDV.
  • Les RDV sont espacés de 30 minutes pour que les patients ne se croisent pas.
  • Des mouchoirs à usage unique et une solution hydro alcoolique sont mis à votre disposition, ainsi qu’une poubelle à pédale.
L’espace de consultation :
  • Les gestes barrière sont affichés à différents endroits du cabinet.
  • Le port du masque est obligatoire à votre arrivée.
  • Le lavage des mains est demandé avant et après la séance.
  • Les chaises et fauteuils sont désinfectés après chaque séance.
  • Vous devrez retirer vos chaussures à l’entrée de la salle, prévoyez une paire de chaussettes.
  • Vous pouvez également prévoir une bouteille d’eau.
La séance :
  • Je porte un masque pour vous accueillir et vous remercie de faire de même.
  • Pendant la séance, le masque n’est pas obligatoire, dès lors que nous respectons une distanciation d’au moins 1 m 80.
  • Je peux utiliser un masque et une visière, si nécessaire.
  • Les exercices respiratoires sont adaptés et les expirations fortes évitées.

Merci par avance de votre compréhension.

Si vous le souhaitez, les séances peuvent se poursuivre en distanciel via WhatsApp ; le règlement s’effectue alors tout simplement par virement

La visio-consultation est privilégiée pour le premier entretien.

Je réponds à toutes vos questions ou demandes de consultation sur mon portable : 07 81 87 97 15 ou kaluxia31@gmail.com

Cet article est rédigé selon les règles en vigueur le 4 mai 2020, il peut être soumis à modifications. Il sera affiché dans la salle d’attente du cabinet.

Les mesures sanitaires de précaution mises en œuvre peuvent être consultées ici.

La fibromyalgie, « le mal partout »

La fibromyalgie, « le mal partout »

La fibromyalgie est une maladie chronique qui dure depuis plus de 3 mois. Elle est caractérisée par des douleurs musculaires diffuses associées à des points douloureux précis.

C’est une maladie reconnue par l’Organisme Mondiale de la Santé depuis 1992. Néanmoins, en France, la personne fibromyalgique peut encore être considérée comme un « malade imaginaire ».

La  fibromyalgie affecte environ 3% de la population dont 75% de femmes.

Fibro : tissu fibreux (ligaments, tendons)

Myo : muscles Algie : douleurs

« Maladie de la douleur »

L’installation de la fibromyalgie peut être brutale (suite à un stress, un traumatisme…) ou progressive. Ce type de douleur évolue pendant des mois, voire des années. Ainsi, le monde médical pense actuellement qu’il s’agit d’un dysfonctionnement des mécanismes centraux du contrôle de la douleur qui crée un état d’hypersensibilité.

La personne fibromyalgique peut présenter des symptômes associés tel la raideur matinale, une fatigue importante dès le réveil, un sommeil non récupérateur, des troubles digestifs, des céphalées, vertiges…

On constate égaiement une hypersensibilité des sens (température, lumière, bruit, odorat) et des émotions (anxiété, dépression).

Sa reconnaissance est rendue complexe et fastidieuse car reposant sur un diagnostic d’élimination. Elle suppose de pratiquer au préalable tous les examens afin d’éliminer d’autres pathologies, comprenant des symptômes communs, comme la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, l’arthrose, le lupus…

Une  prise en charge multidisciplinaire

La prise en charge thérapeutique repose sur une approche multidisciplinaire associant des mesures non médicamenteuses et des traitements allopathiques.

Le malade doit être considéré dans sa globalité : physique, psychologie, sociale et affective. Il est important que le suivi se fasse en collaboration avec le médecin, dans une relation de confiance et d’écoute.

Il s’agit de mettre en évidence non seulement les douleurs par l’examen clinique (intensité, localisation, fréquence, handicaps et invalidités générés) mais aussi de mesurer son impact sur l’état psychologique de la personne.

La fibromyalgie est une maladie qui lie de façon intime le corps et l’esprit. La douleur perturbe le corps et amenuise les défenses de l’esprit.

Accepter sa souffrance sans se résigner

Il est parfois difficile d’admettre la maladie avec ce qu’elle engendre comme répercussions personnelles, psychologiques et professionnelles. Accepter une douleur persistante, qui ne se voit pas et qui existe pourtant, est difficile mais un passage obligé si on souhaite aller mieux.

Cela ne signifie pas être résigné mais suppose plutôt qu’en acceptant, pour l’instant, d’être diminué, contrarié ou fatigué à cause de la douleur, on va mettre en place des stratégies. En effet, on ne peut pas faire face efficacement à la douleur si on la contourne, si on nie son existence et ses conséquences. La douleur fait partie de vous, il faut l’accepter et prendre conscience de la place qu’elle joue dans votre vie.

Relation avec l’entourage

Lorsque l’on n’accepte pas son état et que l’on manifeste tous les signes de la douleur, cela modifie les relations avec les autres et favorise la lassitude et l’évitement.

Il est important que votre entourage soit informé car son attitude de compréhension peut vous aider et est essentielle à la réorganisation de la vie quotidienne. Il doit vous encourager et vous aider à gérer au mieux votre état sans nier totalement votre douleur.

Il évitera de vous surprotéger ce qui vous enfermerait dans la maladie et vous fragiliserait face à votre douleur.

Le caractère subjectif de la douleur est un piège car les autres ne la ressentent pas et peuvent douter de sa présence. Pourtant votre douleur et son ressenti sont bien réels.

Retentissement psychologie

Au fil du temps, la douleur va entraîner un retentissement psychologique : anxiété, insomnie, irritabilité, replis sur soi, désintérêt voire dépression. Ces réactions contribuent à entretenir la douleur et constituent un cercle vicieux.

Le système de gestion de stress sature. Aussi la personne fibromyalgique doit impérativement apprendre à gérer son stress par :

  • Une hygiène de vie adaptée,
  • Une relaxation physique et mentale,
  • Une revalorisation socioprofessionnelle, familiale, personnelle.
  • Une activité physique de ré-entrainement à l’effort pratiquée régulièrement, dans la limite du raisonnable du seuil douloureux.

Ces activités sont nécessaires pour éviter l’affaiblissement musculaire et mental qui entraînerait une recrudescence des symptômes.

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Maladie montrant que le corps et l’esprit sont liés, il est possible d’obtenir une évolution favorable et régressive de la fibromyalgie si les actions sont menées dans toutes les composantes de la vie de la personne touchée : physique et psychologique, personnelle et professionnelle.

 

 

 

#6 vidéo Le lac calmant

#6 vidéo Le lac calmant

Le lac, représentation du calme !…

Symboliquement le lac représente une étendue d’eau paisible.

Cette technique peut être réalisée en position couchée.

Elle permet de faire le point sur nos agitations internes, pour les accepter et gagner en sérénité.

Aidons notre mental à s’apaiser en imaginant un lac.

Installons-nous confortablement et fermons nos yeux.

Prenons conscience des différents points de contact de notre corps, au niveau des pieds, au niveau des fesses, au niveau du dos…

Sentons notre souffle… l’air frais qui entre et… l’air tiède qui sort…

Se relier à notre souffle c’est se relier à la vie en nous…

Laissons se faire notre respiration, sans rien changer, sans jugement, avec bienveillance… accueillons…

Si des pensées viennent à nous entraîner au loin… et… c’est normal… Doucement, ramenons notre attention sur notre respiration…

Relâchons notre visage… notre dos… nos bras et nos mains…

A chaque respiration, nous sommes un peu plus détendus…

Relâchons nos jambes et nos pieds…

Et à chaque respiration, un peu plus détendu… Laissons aller nos tensions au rythme de nos expirations…

Nous pouvons maintenant imaginer un lac…

Comment est ce lac ? Quel est le moment de la journée ? Y-a-t-il des couleurs, une luminosité ? Quelle est la végétation autour du lac ? Est-ce que nous entendons un clapotis ? Ou des chants d’oiseaux ? L’air que nous respirons a-t-il une odeur particulière ?

Nous pouvons observer le lac de plus près… Dans un lac calme souvent l’eau est transparente, la surface est lisse… Parfois le vent agite la surface du lac… tout comme les pensées et les émotions qui tournent dans notre tête…

Nous observons le calme de ce lac… la sérénité qui s’en dégage, la tranquillité… Est-ce que ce calme se reflète en nous ? Où est-ce qu’il se manifeste ? Dans quelle partie de notre corps ?

Avec ce lac paisible, nous nous imprégnons du calme profondément… au niveau des sensations dans notre corps…

Peut-être que notre cœur bat plus calmement…

Prenons conscience du calme que ce lac évoque en nous…

Si une tempête se déchaîne en surface… le fond du lac reste tranquille… Nous nous connectons à cette sérénité qui habite tout au fond de nous… un calme auquel nous pouvons nous relier chaque fois que c’est bon pour nous… utile… bienfaisant…

Ce ressenti du lac ouvre cet espace loin des préoccupations, des inquiétudes, des émotions… colère, tristesse ou peurs… Quelles sont nos sensations ? Nettes ou presque imperceptibles… Nous accueillons…nous observons…

Dès que nous en avons besoin, à un moment de stress, avant une rencontre, voilà… Cette image et ce ressenti du lac peuvent nous aider comme un réflexe de calme que nous installons dès maintenant…

Nous pouvons le réactiver quand nous en ressentons le besoin, de la manière qui nous convient le mieux avec les sensations, mots ou images que nous conviennent le mieux.

Ainsi, nous nous ressourçons efficacement et rapidement.

Puis nous revenons tout doucement à notre respiration… Nous prenons notre temps…

Puis nous ramenons progressivement de l’énergie dans tout le corps…

Et quand c’est bon pour nous, nous ouvrons nos yeux, avec un grand sourire…

#5 vidéo La Main apaisante

#5 vidéo La Main apaisante

 

Je vous propose aujourd’hui, une petite séance de sophro-ludique que j’ai appelée la main apaisante.

Elle s’adresse notamment aux enfants pour qu’ils puissent se détendre grâce à un petit exercice ludique de respiration…

Assis sur notre chaise, nous nous installons confortablement… les pieds bien ancrés, le dos bien droit, la tête dans l’axe…

 

Par exemple, si nous sommes droitier…

Nous plaçons notre main gauche grande ouverte devant nous… nous regardons la paume de notre main, nos doigts en l’air.

Nous allons dessiner le contour de notre main, en nous appuyant sur notre respiration.

Pour cela,

Nous plaçons à la base de notre petit doigt, l’index de notre main droite…

Nous inspirons l’air par le nez, notre doigt remonte le long du petit doigt…

Puis nous expirons doucement l’air par la bouche, en redescendant notre doigt le long du petit doigt, vers l’intérieur.

Et enfin nous faisons une petite pause dans le creux…

Nous inspirons, toujours l’air par le nez  et nous remontons le long de l’annulaire… puis nous expirons en descendant… Pause dans le creux…

Nous inspirons…. notre doigt monte le long du majeur… puis nous expirons… notre doigt redescend… Pause dans le creux…

Inspiration, le doigt monte, le long de l’index… puis nous expirons… notre doigt redescend… Pause dans le creux…

Inspiration, le doigt monte, le long du pouce… puis nous expirons… notre doigt redescend… Pause dans le creux du poignet…

Inspire / Petit doigt / Expire

Inspire / Annulaire / Expire

Inspire / Majeur / Expire

Inspire / Index / Expire

Inspire / Pouce / Expire

3 fois…

Pause d’intégration : accueil des sensations

Nous nous préparons maintenant à notre reprise…

Bougons légèrement les pieds, les mains…

Frottons-nous le visage, les bras…

Baillons, étirons-nous…

Profitons, sourions…

 

 

 

Mal invisible… Ce qu’il faut savoir sur l’endométriose !

Mal invisible… Ce qu’il faut savoir sur l’endométriose !

Au mois de mars, parlons de l’Endométriose

 

2 à 4 millions de femmes en France sont touchées par l’endométriose. Douleurs pelviennes, règles abondantes, fatigue extrême… Mal invisible, ses conséquences sur la qualité de vie et la fertilité peuvent être importantes.

Endométriose & Mal invisible

Que faire ?

Le traitement consiste essentiellement à soulager la douleur.

L’endométriose n’est traitée qu’en cas de douleurs, d’infertilité ou d’endométriome (kyste).

La solution chirurgicale est le seul recours possible quand l’endométriose a causé trop de dégâts ou que les médicaments sont inefficaces, 

Face aux douleurs que l’endométriose impose à l’organisme, la femme a du mal à retrouver une harmonie avec son corps, à l’accepter et à le percevoir autrement que malade.

Avec la sophrologie, la femme peut retrouver un lien avec son corps, au-delà de la douleur et la maladie : la relaxation, la détente musculaire et la respiration aident à trouver un apaisement.

Les bénéfices varient en fonction de la façon dont la sophrologie résonne chez la femme. Néanmoins, pour être efficace, la sophrologie doit se pratiquer de façon régulière, par petites touches : une pause de relaxation de dix minutes une fois dans la journée, avec une prise de conscience de ses appuis corporels, de sa respiration et un étirement suffit à se réapproprier son corps et à avoir le sentiment qu’il est nôtre, au-delà de la maladie.

La sophrologie permet une « présence à soi »’ dans une conscience de son corps. C’est cette présence qui va favoriser la sensation de reprendre le contrôle de soi et de son corps face à l’endométriose.

Endométriose & Sophrologie

Pour en savoir plus :

Associations en France qui rassemblent autour de l’endométriose:

Ou encore :

Célia Fertilité & Kaluxia

 

Si vous êtes intéressé(e)s, merci de me contacter :

07 81 87 97 15

kaluxia31@gmail.com

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